Réalisation d’un espace virtuel qui joue sur le rapport entre la fiction qu’induit le jeu-vidéo et la banalité d’un lieu tel qu’une école (ici l’ESAAB).
Le spectateur peut interagir avec cet environnement en réalisant des actions interdites ou dangereuses. Il peut par exemple sauter de plusieurs mètres de haut sans danger, ou encore vandaliser le lieu grâce à outil caché dans une pièce. Il peut alors frapper les différentes surfaces et laisser libre court à son imagination.
La violence qu’entraine l’acte apporte également une dose de fiction dans la banalité.